© Photo Yannick Vigouroux,
« Marseille, 10 décembre 2011 » (Poladroïd)
Au petit matin, dans cet appartement donnant sur le Vieux Port, au septième étage, j'ai découvert derrière mon lit cette douce lumière accrochée à la condensation de la fenêtre... C'est ainsi, à partir de détails infimes, de micro événements a priori négligeables, que renaissent tous les possibles, s'animent de précieuses miettes de bonheur.
« La ville, ce matin, était transparente. Chaud déjà, mais pas encore poisseux. Marseille respirait sa lumière. »
(Jean-Claude Izzo, Solea, 1998)
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